est une ville et wilaya d'Algérie.
Mestghalim est le nom donné a Mostaganem par ses habitants. Il suffit de le prononcer autrement (Mestghanem) et l’on saura que vous n’êtes pas de la région. Accueillante, jolie, verte par ses ficus, eucalyptus, palmiers et acacias, la ville a pris à tort l’appellation de « ville des mimosas » car en fait, il n’en existe que neuf dans toute la région dont un dans la résidence du Wali et un au Ciaj.
Mostaganem, est située à 104 m d’altitude, elle s’étend sur 2269 Km avec une population de 676 000 d’habitants. Dotée d’un littoral de 124 Km, ses plages sont des plus belles d’Algérie offrant un contraste rarement retrouvé dans une même région : rocheuses, sablonneuses, forestières : elles sont chaque été convoitées par des milliers d’estivants leur offrant un menu à choix multiples.
La ville de Mostaganem est composée d’une ville neuve, et d’une ville ancienne reliées entre elles par l’oued Ain safra dont l’eau fut dans les années soixante dix peuplée de petits poissons.
Dotée d’un port, situé à l’ouest de la ville, l’économie de la Wilaya est basée sur la pêche, l’agriculture, le tourisme et une industrie installée essentiellement sur le littoral (usine de pâte à papier, sucrerie, ………..)
Plusieurs points d’attraction feraient de la Wilaya une des régions les plus touristiques du pays : des musées, un phare, de vieilles mosquées, ses quartiers antiques (Derb et Tobana) des grottes, des terrains de fouille archéologique, des forets mais surtout de belles plages envoutantes.
Historique
Ancien port punique du nom de Moristaga, les romains ont reconstruit la ville et au IIIe siècle, au temps de Gallien, la ville prît le nom de Cartennae. Le site fut occupé par les Almoravides et bien qu’il ait connu d’autres occupants durant le moyen âge, c’est sous le règne de Youssef Ibn Techfine (1106-1161) que la ville ait été puissante. C’est d’ailleurs à lui que l’on attribue l’édification de Bordj El Mehal en 1072. Ce fut le tour des Zianides de Tlemcen puis des Merinides de Fès. Ces derniers fîrent construire une mosquée sous le regne du sultan Abou El Hassen en 1340, édifice sis actuellement au quartier Tobbana. Les espagnoles qui prîrent Oran en 1509, voulurent mettre la main sur Mostaganem, ils imposèrent aux Mostaghanémois en 1511 un traîté que ces derniers refusèrent. Ils resistèrent avant de faire appel à Kheir Ed-dine et les espagnoles connurent alors une grande défaite devant Mazaghran en Aôut 1558. Les Turcs s’y installèrent et Kheir Ed-dine fortifia la ville et l’agrandit.Aux français, Mostaganem résista à deux reprises 1832 et 1833.Mostaganem est aujourd’hui une ville dotée d’infrastructures des plus modernes, une université, plusieurs instituts, une grande bibliothèque universitaire, un centre equestre et une station de radio FM.
Elle est la 27e wilaya dans l'administration territoriale algérienne. (104 m d’alt. ;140 000 hab.;ch-l. d’une wilaya de 704 000 hab.) ; située sur le rebord d’un plateau côtier, la ville contemple à l’ouest la large baie d’Arzew que termine le Djebel Orousse ; elle est assise sur les rives de l’Aïn Sefra dont, à plusieurs reprises et notamment en 1927, elle a eu à redouter les crues ; elle se compose d’une ville neuve, très étendue, et d’une vieille ville, plus compacte, accrochées de part et d’autre d’un profond ravin creusé par l’Aïn Sefra, qui arrose des jardins. La localité est bien située au débouché des plaines du Chélif et de la Macta, Bien qu’elle ait depuis longtemps cédé le pas à la métropole de l’Algérie occidentale, Oran, Mostaganem est une ville aimablement grouillante. Elle a gardé un caractère ancien, mais s’est également ouverte à une économie moderne avec la création d’une sucrerie produisant de 70 à 80 000 tonnes de sucre raffiné par an, ainsi qu’une usine de pâte à papier traitant 180 000 tonnes d’alfa par an. Université de Mostaganem 1978 (ex- Institut de Technologie agricole 1970).
la ville moderne, au plan régulier, n'offre pas d'intérêt. La cité ancienne, souvent dévastée par les crues (1927 encore) de l'oued Aïn Sefra , est dominée par le Bordj el Mehal, couramment appelé fort turc :un jardin public y a été aménagé (1964),avec de curieuses architectures pseudo-japonaises. Joli point de vue sur la ville et le port. Mosquée Mérinide, en partie du 14ème siècle. Vers le N, extension urbaine du quartier de Tijdit. Plus loin, on arriverait aux plages de Moulin Bigore , Baie aux Pirates et Karouba (5km).
Au S, immenses plages de la Salamandre et des Sablettes, au pied des dunes et de la forêt d'Ouréah.Sur la route de Mohammedia, ex-Perrégaux, on passerait à Mazagran, qui vit la défaite des Espagnoles d'Oran en 1558 devant une armée turque, et un célèbre combat entre Français et Arabes en 1840. Plus loin, Hassi Mamèche, ex-Rivoli, et Aïn Nouissy, ex-Noisy-les-Bains.
La corniche des Dahra offre le plus beau paysage de cette partie de la côte Turquoise avec ses falaises escarpées.
Mostaganem, fière de son patrimoine culturel , se targue d'avoir donné naissance à des personnages illustres comme le dramaturge Abderahmane Ould, dit Kaki, le metteur en scène Mohamed Chouikh, et des Historiens tel Moulay Ben Hamissi. Fief du théâtre amateur et populaire , elle abrite les grands spécialistes de la musique andalouse, de la musique populaire citadine (chaâbi) et les maîtres de la tradition musicale bédouine (cheikh Hamada, cheikh Djilali Aïn Tedles).
A la plage réputée les Sablettes, à l'ouest, préférer les plages de l'est comme Aïn Brahim où la pinède descend jusqu'à la mer .
Communes de Mostaganem : 32 (code wilaya : 27)
Abdelmalek Ramdane, Achaacha, Ain Boudinar, Ain Nouissi, Ain Sidi Cherif, Ain Tadles, Bouguirat, El Hassiane, Fornaka, Hadjadj, Hassi Maameche, Khadra, Kheireddine, Mansourah, Mesra, Mezghrane, Mostaganem, Nekmaria Ouled Boughalem, Ouled El Kheir, Ouled Maallah, Safsaf, Sayada,
Mostaganem (Arabic: مستغانم) is a city and wilaya in Algeria. Mestghalim is the name given by its inhabitants Mostaganem. Suffice it to say otherwise (Mestghanem) and they will know that you're not from the region. Friendly, pretty, with its green ficus, eucalyptus, palms and acacias, the city took the false name of "City of mimosas" because in fact there are only nine in the entire region including one in the residence the Wali and the ciaj.
Mostaganem, is located at 104 meters altitude, it extends over 2269 km with a population of 676 000 inhabitants. With a coastline of 124 km, beaches are more beautiful in Algeria with a contrast rarely found in the same area: rocky, sandy forest: they each have been coveted by thousands of vacationers offering them a menu Multiple choice.
The town of Mostaganem includes a new town and an ancient city linked by the Wadi Ain Safra whose water was in the sixties, populated by small fish.
With a port located west of the city's economy Wilaya is based on fishing, agriculture, tourism and industry located mainly along the coast (pulp and paper, sugar, ... ... ... ..)
Several points of attraction would be one of the Wilaya of the most touristic regions of the country, museums, a lighthouse, old mosques, ancient neighborhoods (Derb and Toban) caves, archaeological excavation of land, forests, but especially bewitching beaches.
History
Former Punic port name Moristaga, the Romans rebuilt the city and the third century, the time of Gallienus, the city took the name Cartennae. The site was occupied by the Almoravids and although he had other occupants during the Middle Ages, it was under the reign of Youssef Ibn Techfine (1106-1161) the city was powerful. This is to him that we attribute the building of Bordj El Mehal in 1072. It was the turn of Zianides Merinides of Tlemcen and Fez. The latter did build a mosque in the reign of Sultan Abou El Hassen in 1340, a building currently located at headquarters Tobbana. The Spanish who took Oran in 1509, tried to get hold of Mostaganem, they imposed the Mostaghanémois in 1511 a treaty that they refused. They resisted before calling at Kheir al-Din and the Spanish knew then a defeat at Mazaghran in August 1558. The Turks settled and Kheir al-Din fortified the city and enlarged. For the French, Mostaganem resisted twice in 1832 and 1833.Mostaganem is today a city with modern infrastructure, a university, several institutes, a large university library, an equestrian center and an FM radio station.
It is the 27th in the wilaya of Algeria territorial administration. (104 m altitude., 140 000 inhabitants., Ch-l. Wilaya of 704 000 inhab.) Situated on the edge of a coastal plateau, the city looks to the west off the Bay of Arzew that terminates the Djebel Orousse, she sits on the banks of the Ain Sefra which on several occasions, notably in 1927, she had to fear the flood, it consists of a new town, extensive, and of an old city, most compact, hanging from both sides of a deep ravine carved by the Ayn Sefra, watering gardens. The town is situated at the mouth of the plains and Chelif Macta, Although it has long since given way to the metropolis of western Algeria, Oran, Mostaganem is a city teeming kindly. She kept an old character, but has also opened a modern economy with the creation of a sugar producing 70 to 80 000 tonnes of refined sugar per annum and a pulp and paper processing 180 000 tons alfa year. University of Mostaganem 1978 (former Institute of Agricultural Technology in 1970).
the modern city, the regular plan does not offer interest. The ancient city, often devastated by floods (1927 again) of the Wadi Ain Sefra is dominated by the Bordj el Mehal, commonly called Turkish fort: A garden has been built (1964), with curious architecture pseudo-Japanese . Beautiful views over the city and harbor. Marinid Mosque, part of the 14th century. To N, expansion of urban neighborhood Tijd. Further, we happen to beaches Bigore Moulin, the Pirates Bay and Karouba (5km).
In S, vast beaches and the Salamander Sablettes at the foot of the dunes and forest Ouréah. On the road to Mohammedia, ex-Perregaux, we happen to Mazagran, which saw the defeat of the Spanish Oran in 1558 before a Turkish army, and a famous battle between French and Arabs in 1840. Further, Hassi Mameche, ex-Rivoli, and Ayn Nouissy, ex-Noisy-les-Bains.
The cornice of Dahra offers the most beautiful landscape in this part of the Turquoise Coast with its cliffs.
Mostaganem, proud of its cultural heritage, takes pride in having given birth to figures such as playwright Abderahmane Ould, "said Khaki, director Mohamed Chouikh, and historians such Moulay Ben Hamissi. Fief amateur theater and popular, it is home to leading specialists in the Andalusian music, popular music city (chaabi) and masters of traditional Bedouin music (Sheikh Hamad Sheikh Djilali Aïn Tedla).
On the famous beach Sablettes, west, prefer the beaches of the east as Ain Brahim where the pine forest down to the sea.
Towns in Mostaganem: 32 (wilaya code: 27)
Abdelmalek Ramdane Achaacha, Boudinar Ain, Ain Nouissi, Ain Sidi Cherif, Ain Tadla, Bouguirat El Hassiane, Fornaka, Hadjadj, Hassi Maameche, Khadra, Kheireddine, Mansura, Mesra, Mezghrani, Mostaganem, Nekmaria Ouled Boughalem Ouled El Kheir Ouled Maallah, Safsaf, Sayad
